محاولة قتل الفراغ بفأس الهندي الأحمر..حصان مخادع يقف على كتفي تفاحة..صوت جاف يحلق تحت ذقن العجوز..يقتل دراجين برصاص مفاجئ فوق جسر مخيلة خشبية..يجر باخرة بأسنانه نحو الهاويةالأمواج نواقيس خطر..لا تذهب روح الشاعر الى السماءبل الى البحر لاسعاد قناديله المسحورة..يفرغ دمه في كلمة تشبه جرنا في بستان متصوفة..يمكن أن نكتشف صوت اللهفي موسيقى البحر..خبز المتسول له طعم الميتافيزيقايدور حول ذاته وله منزلة في الشك..العين برهان ..أتلو ميثاق معاهدة أبدية بين جارين في جزيرة عابرة.أصغي الى سارد ليلي..يتدلى فوق رأسي المهوشة..تسعدني فتوحات العنكبوت..بيتك معتم دون مصابيح روحي..
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Texte original en Arabe
Ecrit par : fathi M’HADHEB
Traduit par : Mohamed Salah GHERISSI
Conquêtes
Essayer d’achever le vide avec le Tomahawk d’un ‘’ peau-rouge ‘’
C’est tel un cheval sournois qui cabre sur les épaules d’une pomme..
Une voix farouche qui rase sous le menton du vieil homme..
Qui, de coups de feu inattendus exécute des cyclistes,
sur le pont d’une imagination en bois..
Tirant vers un gouffre très profond, un bateau avec ses dents,
Les vagues sonnent leurs glas...
L’âme d’un poète n’ira point au paradis,
Mais, vers la mer pour offrir le bonheur, aux méduses enchantées..
Il se vide le sang en un mot, tel un sarcophage au jardin d’un groupe de mystiques..
Il est probable qu’on découvre la voix de dieu
Dans la musique de la mer..
Mais, le pain d’un mendiant, au goût de la métaphysique,
Tournant en rond, tien sa place dans le doute..
L’œil d’ailleurs, en fait preuve.
Je vais vous lire la charte d’un traité éternel
Entre deux voisins sur une île passagère.
Ecoutant un narrateur nocturne ;
Suspendu au dessus de ma tète déjà confuse..
Ravi, des conquêtes que faisait l’araignée..
Votre foyer sera certainement sombre,
sans les lanternes de mon âme..
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Texte original en Arabe
Ecrit par : fathi M’HADHEB
Traduit par : Mohamed Salah GHERISSI
Conquêtes
Essayer d’achever le vide avec le Tomahawk d’un ‘’ peau-rouge ‘’
C’est tel un cheval sournois qui cabre sur les épaules d’une pomme..
Une voix farouche qui rase sous le menton du vieil homme..
Qui, de coups de feu inattendus exécute des cyclistes,
sur le pont d’une imagination en bois..
Tirant vers un gouffre très profond, un bateau avec ses dents,
Les vagues sonnent leurs glas...
L’âme d’un poète n’ira point au paradis,
Mais, vers la mer pour offrir le bonheur, aux méduses enchantées..
Il se vide le sang en un mot, tel un sarcophage au jardin d’un groupe de mystiques..
Il est probable qu’on découvre la voix de dieu
Dans la musique de la mer..
Mais, le pain d’un mendiant, au goût de la métaphysique,
Tournant en rond, tien sa place dans le doute..
L’œil d’ailleurs, en fait preuve.
Je vais vous lire la charte d’un traité éternel
Entre deux voisins sur une île passagère.
Ecoutant un narrateur nocturne ;
Suspendu au dessus de ma tète déjà confuse..
Ravi, des conquêtes que faisait l’araignée..
Votre foyer sera certainement sombre,
sans les lanternes de mon âme..