Dans la littérature arabe, algérienne en particulier, les tabous, c’est connu, font feu de tout texte. Le fameux triptyque : sexe-politique-religion n’a pas fini de compter ses « autodafés », malgré les cris d’orfraie poussés avec hargne par les partisans de la mise à nu esthétique.
Il est bien...