Je te salue, O merveillette fente,
Qui vivement entre ces flancs reluis;
Je te salue, O bienheureux pertuis,
Qui rend ma vie heureusement contente!
C’est toi qui fais que plus ne me tourmente
L’archer volant qui causait mes ennuis;
T’ayant tenu seulement quatre nuits
Je sens sa force en moi déjà...