Mohamed El Ouariachi Tani - Énième tribulation

Quand je suis dans cet exercice de sentir tes phéromones et aller à la quête de tous tes bouquets émis par ton corps en effervescence….je me rends compte que ma paraphrénie est justifiée et mérite qu’on s’y attarde…

Pas pour atténuer mes circonstances de profanateur de ton corps sacré….car je suis bel et bien sur cette œuvre de profaner les espaces où tu te répètes…mais dire à tous les amoureux Quand le jour se réveillera ; nés des dernières pluies !! Combien je les envie...!

Je cherche la syntaxe idoine pour crier dans l’arène….et sans balbutier je prononce ton prénom !
Au plus creux de la vague je subis l’immersion …je divague….je lis mon testament en catimini où tu es la loi et la foi…
Tu saurais être la déesse de mes alinéas ; savoir amortir ma démence ma décrépitude ???
Saurais-tu chanter l’alléluia à mon chevet où les chants pastoraux ont cessé d’être composés ??

Édite moi au nom de toutes les diablesses de notre acabit cette ultime rhapsodie où l’on procédera au sacrement de cette idylle devenue signe de la disparition du paria…Amen !!

Dr. Mohamed El Ouariachi Tani
Marrakech 16/03/2013​
 
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