***
Car, l'esprit de ton cheval est brisé,
Il maudit les capitaines au bordel.
Apporte le nuage du menton du client
Et il hennit pendant la prière.
Car, ton cheval n’a qu’un seul œil,
Et des jambes de gypse,
Il a perdu toutes les guerres,
Il a perdu la couronne et les mystifies de la sagesse,
La lune brune de la forêt,
Les clés du château magnifique,
La lanterne sur le balcon,
Et la princesse dans l’album de famille,
Donc, vous vous tiendrai sur la pomme du temps,
Sur une seule jambe,
Attendant l’anneau de Salomon.
***
Je rentre à l’Eglise,
Avec les griffes d’un guépard qui guette.
Portant le bateau de repentir entre mes dents fragiles.
Et dans mon sang, halète un dragon.
Des milliers d'années de déni et d'ingratitude,
De pus et de non-sens,
La baraka, ici, et le chœur fabrique les preuves,
En haut de la tour.
***
Tes rivières sont trop sombres,
Les bateaux décorent leurs nids par des Lapis lazulite,
Je suis le poisson qui pince l'eau,
Pour assurer sa ration de lumière,
Par tes dents, tu as déchiré la belle distance,
Et dans la grotte sombre,
Tu as tué le léopard qui lichait nos contradictions,
En gourmandise extravagante,
Faisant de moi Mésie affreux,
Dont tu nettoies les croix par le sang de tes règles,
Je t’ai triché au lit,
Merde !
Les Potins, ce n’est pas le froid qui cas les os,
Et dans le bistrot, mes disciples sont suspendus, l’un après l’autre,
J’ai vendu mon visage aux chasseurs d’orages,
Les barbares vous ont soutenu aux funérailles,
Et entre tes doigts, tu caches mon cercueil bleu.
***
Car, les chevaux de pluie ont faim,
Les cassures de fenêtres et les dunes de nostalgie,
Car, le bus échouera l’épreuve,
L’Abyme, chantera intensivement,
Les troubadours détèleront et le cascade du sang s’écoulera,
Car, le néant nettoie le fusil
Pour lancer une soirée familiale dans l’Enfer,
Car, je suis promis à la perte,
Le pont m’a trahi,
La nature de chose ma déçu,
Car, le monde est néant pur,
Le romancier est inséré dans la creuse de l’aiguille,
Car Dieu est très anxieux,
Les anges disparus dans l’océan,
Car, l’autrui, c’est la mort et la résurrection,
J’ai dit à Dieu à la raison,
Et j’ai mis le masque du clown.
***
Marde!,
Les avortons montent au tribune,
Les véhicules se tracasse dans les détroits de l’artère
Le sceptre est entre les mains du voyant,
Corbeau, ne me fait rien de blague,
Le bateau bêle dans la grotte,
Les monstres se partagent l’enjeu,
Pour me plaire, je saute du bus dans la gorge du Baleine,
Ma sueur est de l’or pur,
Et l’oie, ma compensation, dans l’abîme.
***
Nous pleurâmes avec le lion dans l’isolation,
Les renards jetèrent des pierres et de la paille sur nous,
Nous ne trouvâmes, ni mère ni arbre,
Pour abaisser nos soucis,
Les berges vinrent à l’hôpital,
Le troupeau, à l’unité des soins intensifs,
On chassa notre pain quotidien,
Aucune lumière n’est au bout du tunnel,
La prédiction du prêtre s’avéra vide,
L’air est le seul ami éternel…
Car, l'esprit de ton cheval est brisé,
Il maudit les capitaines au bordel.
Apporte le nuage du menton du client
Et il hennit pendant la prière.
Car, ton cheval n’a qu’un seul œil,
Et des jambes de gypse,
Il a perdu toutes les guerres,
Il a perdu la couronne et les mystifies de la sagesse,
La lune brune de la forêt,
Les clés du château magnifique,
La lanterne sur le balcon,
Et la princesse dans l’album de famille,
Donc, vous vous tiendrai sur la pomme du temps,
Sur une seule jambe,
Attendant l’anneau de Salomon.
***
Je rentre à l’Eglise,
Avec les griffes d’un guépard qui guette.
Portant le bateau de repentir entre mes dents fragiles.
Et dans mon sang, halète un dragon.
Des milliers d'années de déni et d'ingratitude,
De pus et de non-sens,
La baraka, ici, et le chœur fabrique les preuves,
En haut de la tour.
***
Tes rivières sont trop sombres,
Les bateaux décorent leurs nids par des Lapis lazulite,
Je suis le poisson qui pince l'eau,
Pour assurer sa ration de lumière,
Par tes dents, tu as déchiré la belle distance,
Et dans la grotte sombre,
Tu as tué le léopard qui lichait nos contradictions,
En gourmandise extravagante,
Faisant de moi Mésie affreux,
Dont tu nettoies les croix par le sang de tes règles,
Je t’ai triché au lit,
Merde !
Les Potins, ce n’est pas le froid qui cas les os,
Et dans le bistrot, mes disciples sont suspendus, l’un après l’autre,
J’ai vendu mon visage aux chasseurs d’orages,
Les barbares vous ont soutenu aux funérailles,
Et entre tes doigts, tu caches mon cercueil bleu.
***
Car, les chevaux de pluie ont faim,
Les cassures de fenêtres et les dunes de nostalgie,
Car, le bus échouera l’épreuve,
L’Abyme, chantera intensivement,
Les troubadours détèleront et le cascade du sang s’écoulera,
Car, le néant nettoie le fusil
Pour lancer une soirée familiale dans l’Enfer,
Car, je suis promis à la perte,
Le pont m’a trahi,
La nature de chose ma déçu,
Car, le monde est néant pur,
Le romancier est inséré dans la creuse de l’aiguille,
Car Dieu est très anxieux,
Les anges disparus dans l’océan,
Car, l’autrui, c’est la mort et la résurrection,
J’ai dit à Dieu à la raison,
Et j’ai mis le masque du clown.
***
Marde!,
Les avortons montent au tribune,
Les véhicules se tracasse dans les détroits de l’artère
Le sceptre est entre les mains du voyant,
Corbeau, ne me fait rien de blague,
Le bateau bêle dans la grotte,
Les monstres se partagent l’enjeu,
Pour me plaire, je saute du bus dans la gorge du Baleine,
Ma sueur est de l’or pur,
Et l’oie, ma compensation, dans l’abîme.
***
Nous pleurâmes avec le lion dans l’isolation,
Les renards jetèrent des pierres et de la paille sur nous,
Nous ne trouvâmes, ni mère ni arbre,
Pour abaisser nos soucis,
Les berges vinrent à l’hôpital,
Le troupeau, à l’unité des soins intensifs,
On chassa notre pain quotidien,
Aucune lumière n’est au bout du tunnel,
La prédiction du prêtre s’avéra vide,
L’air est le seul ami éternel…